Au sein d’une entreprise, le calcul du seuil de rentabilité reste un outil et un indicateur comptable essentiel. Important lors de la prise de décision sur les dépenses et les coûts de l’entreprise. Mieux encore, il permet de déterminer le nombre de produits à vendre pour être rentable. Comment le calculer ? De quoi il se compose ?Et à quoi il sert ? Les réponses !
Le seuil de rentabilité, qu’est ce que c’est?
Par définition, le seuil de rentabilité est soit la somme qui devraient être offertes pour prendre en charge les dépenses fixes (par exemple, le bail ou autres qui continue comme avant en accordant peu d’attention à l’exécution des transactions), et les dépenses/coûts variables par unité (une dépense qui fluctue en fonction du montant du résultat pour commencer à récolter un bénéfice au sein d’une entreprise.
Le seuil de rentabilité est le volume de mouvement auquel les revenus totaux d’une organisation atteignent le montant de tous les facteurs et des coûts fixes. Le mouvement peut être communiqué en unités ou en transactions. Le seuil de rentabilité est niveau où il n’y a ni gain ni perte.
Par exemple, supposons que vous vendiez des tasses à expresso et que votre seuil de rentabilité soit de 2 000 tasses. Chaque fois que vous avez vendu plus de 2 000 gobelets, en comptabilité, vos dépenses ont été couvertes et d’autres offres s’ajouteront aux avantages de votre organisation.
En gros, le seuil de rentabilité est un outil comptable qui permet de déterminer le chiffre d’affaires minimal pour être rentable dans une activité, c’est avec un résultat positif.
Comment le calculer?
Pour calculer le seuil de rentabilité et appliquer la définition précédente, il faut passer par quelques étapes.
D’abord, il faut répartir les charges fixes et les charges variable au sein d’une activité de production.
Ensuite, calculez la marge sur coûts variables. Comment? en faisant la différence entre le Chiffre d’affaires et les charges variables.
En outre, calculer le taux de marge sur les coûts variables s’impose. Pour ce faire, il faut diviser la marge sur coûts variables avec le Chiffre d’affaires.
Vient enfin le calcul du seuil à proprement parler, le calcul s’opère en faisant le rapport entre Charges fixes et le taux de marge sur coûts variables.
Pour son usage, l’idéal serait d’exprimer le seuil de rentabilité sous différentes expressions.
Notamment, l’expression en nombre de jours de chiffre d’affaires rapporté à la durée de l’exercice comptable, en somme de vente réalisés en une unité de temps variable (journalier ou hebdomadaire), ou en le rapportant au prix de vente unitaire, ces trois expressions permet d’apprécier le niveau du point mort sous différents angles. Notez qu’avec le rapport seuil/ prix unitaire, on obtient le point mort en nombres de produits à vendre pour être rentable.
Les composantes du seuil de rentabilité
En matière de comptabilité et de gestion, deux composantes constituent essentiellement le seuil de rentabilité.
Les coûts fixes : en gestion, ces coûts apparaissent une fois que l’action financière d’une entreprise commence. Les coûts fixes comprennent les droits, les taux de rémunération, les loyers, le coût de détérioration, le coût des travaux, les intérêts, le coût de l’énergie, etc.
Les coûts variables : Ces coûts varient et diminuent ou augmentent selon le volume de la création. Ces coûts comprennent le coût du regroupement, le coût de la substance non raffinée, du carburant et des différents matériaux liés à la création.